par « C’était pas le froid qui nous glaçait le sang, là-bas. Non, pas le froid ! C’était l’atmosphère. C’était sombre. C’était humide. C’était silencieux, même quand ça fait du bruit. Je sais même pas comment des ogres peuvent vivre là-dedans. En tout cas, ceux-là qu’on a croisé, le tauren et moi, ils vivent plus. Sauf qu’il n’y a pas qu’eux qui ne vivent plus, là-bas. En vérité, tout à l’air mort, là-bas. C’est ça qui fait froid dans le dos. Tout partout des ruines de maison de stupid’humains pleines d’ombres, comme des stupid’humains qu’on verrait à travers. Et des sortes d’esprits.
On en avait croisé une vivante, de studpid’humaine. On s’est demandé si elle était vraie ou pas mais, Uthon, il a causé des plombes avec. Trop curieuse. Elle a posé trop de questions et ça a énervé u peu Uthon. Moi, je me suis cachée pour éviter de la tuer mais elle cherchait trop à savoir qui, quoi, où, tout ça. Alors je me suis montrée. Elle m’a vu et elle s’est pas sauvée comme font la plupart des stupid’humains qui ne le sont pas trop, stupides. Non, elle, c’est une vraie stupid’humaine qui se sauve pas, même quand il y a la mort qui frappe avec son bâton pour dire que c’est peut-être le moment de dire au revoir. On a réussi à la faire partir sans la tuer. C’est surtout Uthon qui m’a empêchée.
C’est après qu’on a traversé la rivière qu’on a joué avec les fantômes. Y en avait un grand, tout bleu et blanc, avec des ailes. C’était bizarre. J’avais vraiment l’impression de l’avoir déjà vu. Ça parlait en chuchotant, tout doucement, comme des murmures à l’oreille. Ça a dit que rien de vivant n’entrait là-dedans et que rien n’e sortait non plus. Uthon a fait remarquer que c’était pas vrai vu que le sorcier-docteur Umbagwa nous avait raconté qu’une fille y était entrée ue fois et en avait ressorti. Ça n’a pas voulu en démordre. "Rien de vivant ne peut entrer ici" qu’elle a continué. Ça doit vouloir dire qu’avant la visite, il faut mourir
On est partis. On n’a pas insisté. Mais on y retournera, on sait pas comment, ni quand. On a trouvé une porte de la mort. On y retournera. »
On en avait croisé une vivante, de studpid’humaine. On s’est demandé si elle était vraie ou pas mais, Uthon, il a causé des plombes avec. Trop curieuse. Elle a posé trop de questions et ça a énervé u peu Uthon. Moi, je me suis cachée pour éviter de la tuer mais elle cherchait trop à savoir qui, quoi, où, tout ça. Alors je me suis montrée. Elle m’a vu et elle s’est pas sauvée comme font la plupart des stupid’humains qui ne le sont pas trop, stupides. Non, elle, c’est une vraie stupid’humaine qui se sauve pas, même quand il y a la mort qui frappe avec son bâton pour dire que c’est peut-être le moment de dire au revoir. On a réussi à la faire partir sans la tuer. C’est surtout Uthon qui m’a empêchée.
C’est après qu’on a traversé la rivière qu’on a joué avec les fantômes. Y en avait un grand, tout bleu et blanc, avec des ailes. C’était bizarre. J’avais vraiment l’impression de l’avoir déjà vu. Ça parlait en chuchotant, tout doucement, comme des murmures à l’oreille. Ça a dit que rien de vivant n’entrait là-dedans et que rien n’e sortait non plus. Uthon a fait remarquer que c’était pas vrai vu que le sorcier-docteur Umbagwa nous avait raconté qu’une fille y était entrée ue fois et en avait ressorti. Ça n’a pas voulu en démordre. "Rien de vivant ne peut entrer ici" qu’elle a continué. Ça doit vouloir dire qu’avant la visite, il faut mourir
On est partis. On n’a pas insisté. Mais on y retournera, on sait pas comment, ni quand. On a trouvé une porte de la mort. On y retournera. »
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