La gue'we et la st'watégie sont des a'wts incompatible avec les faibles d'esp'wit.
Nous étions pa'wtit seulement pou' p'wéveni'w Chayem d'un danger ince'wtains et qu'il fallait pou'w cela éviter de fai'we pousser des a'wb'wes au No'wd pendant quelques semaines... L'aut'we elfe o'wacle - elfe de la nuit - malg'wé le fait qu'elle soit issu d'une 'wace complètement javané et que elle-même soit à coup sû'w la foldingo du village nous avait "p'wédi" une g'wande menace, qui bien 'wéfléchi, était logique... Les wo'wgens viend'wont du No'wd accompagné des Elfes de la Nuit pou'w lutter cont'we les démons... ça c'est un fait. Mais elle nous a lou'wdement souligné à plusieu'w 'wep'wises le fait que les fo'wêts du No'wd des Ta'wides étaient favo'wable à l'expansion de ces de'wniers...
Ce'wtes elle est délu'wé... Et elfe qui plus est... Mais nous ne connaissons pas ce peuple de loups et dans ce cas, la simple p'wudence est 'wequise. Une fois que tout ce beau monde se'wa inte'wvenu en Désolace, la Ho'wde pou'wa juger d'elle même via le compo'wtement des loups si il y a menace ou non.
Si oui, les mesu'wes nécessai'wes p'wises en amont p'wotège'wont les civils et la Ho'wde elle même; si il n'y en a aucune les a'wb'wes pou'wsuiv'wont leu'w expansion à l'image de la natu'we : paisible et se'weine.
En 'wésumé Chayem nous a 'wenvoyé pait'we 'Washnak, Hu'wen et moi même. Je suppose qu'elle y voit un conteste de sa pe'wsonne et de son auto'wité qu'elle veut p'wése'wver. C'est incohé'want et petit. Nous ne voulons pas de pouvoi'w pe'wsonnel ni 'wien de la so'wte : nous demandons juste qu'elle stop la c'woissance de la végétation tempo'wai'wement !
La p'wudence et la patience sont des qualités du sage, elle en semble dénué.
Elle nous a pa'w la suite emba'wqué dans une chasse aux centau'wes, accompagné de Tho'wgo'w. Mais avant de pa'wti'w, je lui ai dit que l'on pa'wle'wait du p'woblème juste ap'wès. Y a pas de temps à pe'wd'we !
La chasse débute donc, on nous conduit ve'ws le Sud. A un moment donné tout le monde s'a'wête et ça blablate. J'ai alo'w dit que deux jou'w avant, j'étais pa'wti au No'wd-Est de cette 'wégion avec Hu'wen, nous inspections les zones des Ta'wides et des Se'wes 'Wocheuses : les démons étant p'woche, il faut ce méfier ! Nous avons donc 'wema'wqué un camp kolka'w défendu. On c'était calmement app'woché et là des centau'wes nous ont attaqué.
J'ai donc suggé'wé de commencer pa'w le No'wd : ainsi on p'wenant leu'w seul position défensive, les centau'wes Sud ne pou'wont pas s'y 'weplier pou' cont'we attaquer.
Juste ap'wès, Chayem m'a dit que je p'wenais la tête des opé'wations alo'w que je ne donnais que mon avis. Le tau'wen Tho'wgo'w était jaloux et voulait le commandement. Moi je m'en foutais. Nous n'étions qu'une poignée, un "commandant" n'était pas nécéssai'we si tout le monde s'entendait su'w la ma'wche à suiv'we.
Le tau'wen a avancé des a'wguments, a essayé de me 'wabaisser : "Chacun à sa place dans la g'wande chasse"... Je lui ai 'wét'owqué pou'w mon honneu'w p'wop'we que j'étais Chasseu'w des Omb'wes. Puis, je lui ai donc p'woposé de p'wend'we le "poste" vu que je m'en fichais g'wandement. Chayem a alo'w dit que c'était à moi de le p'wend'we mais l'aut'we, implicitement que c'était à lui de l'avoi'w... Blablablablablablabla...Pffffff... La pué'wilité... ça me faisais penser à des enfants qui ce disputent un joujou. Alo'w que nous dev'wions agi'w en s'ent'waidant mutuellement, la dispute est : l'inté'wêt pe'wsonnel...
En b'wef ap'wès ce passage désolant, on m'a dit que c'était moi qui p'wenais la "tête de l'opé'wation" pou'w selon Chayem : "p'wouver ma fo'wce".
Nous sommes donc pa'wti au No'wd ve'w le campement. Une fois devant Chayem a dit que ces gue'wiers c'étaient installé ici et qu'ils étaient "neut'we"... D'wôle de neut'walité d'attaquer sauvagement à vue mais bon... Passons...
Au final, au moment de p'wend'we une décision de g'woupe, pe'wsonne ne voulait donner son avis p'wop'we ho'wmis 'Washnak.
Chayem a, à un moment, donné son acco'wd.
Le mot d'o'wd'we : on ne chiquote que les gue'wiers et on épa'wgne les enfants, les vieilla'wds. Et les femmes qui ne ce battent pas. Seulement les combattants...
Nous avons désossés tout leu'w foutus combattants, et Chayem a b'wulé le campement.
Di'wection Sud. Chayem di'wigait la petite t'woupe ve'ws les camps kolka'w.
Je vis à un moment une immensité de centau'wes dans la plaine. J'ai appelé alo'w le g'woupe qui ne les avaient pas vu et l'attaque ne c'est pas fait attend'we : le combat fut long... C'était le chaos total... Les centau'wes venaient de pa'wtout... Dans la confusion Hu'wen en faisant tou'wnoyer sa hache a f'wappé malencont'weusement une gi'wafe biza'we qui 'westait planté là au milieu des combats comme si 'wien ne ce passait. Les combats continuaient avec autant d'intensité... Quand tout d'un coup Hu'wen, qui à ce moment là ce tenait à côté de moi stoppa la lutte et 'westa ébahit une poignée de secondes... Je me suis alo'w 'wetou'wné : le Dieu élémentai'we de l'ai'w est appa'wu... Ce'wtains, moi comp'wis, avons continué a chiquoter les de'wniers kolaka'w qui continuaient le combat. Une fois fini, je vis Chayem à genoux, puis elle tomba, inconsciente... ou peut-êt'we mo'wte ?
Tout le monde s'éca'wtait avec lâcheté... Je n'en c'woyais pas mes yeux, ils allaient abandonner leu'w amie elfe en fuyant ou 'wester là, bouche bée, en attendant comme des moutons l'abattoi'w dans le déshonneu'w le plus total ?
D'un 'wega'wd, 'Whasnak et moi nous nous sommes comp'wis, nous l'avons attaqué.
Peut-êt'we not'we passage dans le cycle de la vie a'wivait à son terme ? Au moins pou'wons nous 'wejoind'we sans honte le panthéon glo'wieux de nos ancêt'wes.
Il n'y a de meilleu'w augu'we dans sa vie que de mou'wi'w au combat, en 'wega'wdant fiè'wement dans les yeux son ennemi po'wter le coup fatal. On dit chez les t'wolls que l'on ne ce sent jamais autant vivant au moment même où not'we vie va s'échapper. Ma g'wand mè'we me le 'wépéta souvent petit, et il y a fo'wt à pa'wier que je connait'wais cette ultime sensation de bien-êt'we.
C'est peut-êt'we pou' cela que les t'wolls Somb'welance et les o'wcs sont si p'woches : une conception quasi-identique de l'honneu'w : unis jusqu'à la mo'wt.
A nous deux, nous avons combattu le Dieu élementai'we du vent avec b'wavou'we. J'ai 'wa'wement vu une tel puissance à l'oeuv'we... Le combat était âp'we et long... J'ai moi même failli t'wépasser une fois.. Mais la victoi'we i'wéaliste était p'woche !
C'est à ce moment là que le puissant Dieu s'éclipsa.
Le calme tomba su'w la plaine. Le sang de ses b'waves gue'wiers, qui n'avaient pas fui pou'w la plupa'wt, ab'weuvait la te'we. Leu'w attitudes leu'w faisaient honneu'w. Le Chaos fit place au silence si pa'wticulié du champ de bataille, une fois les combats finis...
Chayem ce 'weleva. Tout le monde ce 'weg'woupât. La tension tomba...sauf pou'w l'elfe.
A peine 'wemis, elle c'wia à la folie !
Elle exagé'wa tout : "Un" animal tué pa'w "inad've'wtance" passa à "des" et la mo'wt de ces de'wniers étaient "volontai'wes", les combattants kolka'w passè'went à "toute la population"...
Elle a hu'wlé en disant ne vouloi'w vi'wer simplement les kolka'w que des oasis pa'w la fo'wce...
"Juste les chasser des Oasis"... Chayem à ce'wtes, dû pa'wticiper à plusieu'w combats, mais visiblement aucune gue'we...
Elle m'a pa'wu comme une enfant naïve et innocente dans son monde...
La gue'we est sale... La gue'we est du'we... Il n'y a pas de pitié dans les abysses du combat... Le sang ne pa'wdonne pas, il 'weste anc'wé p'wofondement pou'w ne plus jamais s'effacer pas des mémoi'wes...
Qu'au'wait fait les centau'wes ap'wès l'attaque des Oasis ? Ils ce se'waient vengé... C'est légitime... Ils s'en se'waient p'wis aux populations isolés... Le pillage... Le viole... Les tue'wies... Les habitants n'ayant que pou'w seul échappatoi'we la fuite, pou'w la mino'wité des chanceux, la mo'wt pou'w la majo'wité p'wit au piège... Le feu léchant les bâtisses... Les supplices... Les femmes violées devant les enfants... La to'wtu'we, faisant gicler les chai'ws... Les ent'wailles des malheu'weux à l'ai'w lib'we... Les têtes t'wanchées dispe'wsées su'w le sol... Le liquide 'wouge et épais ce mêlant à la bile... Les la'wmes... Les c'wis... Les boyaux 'wépandus au sol... Les t'wipes pou'wissants au soleil...
Le sang appelle le sang.
Ce'wtes, la Ho'wde au'wait agi... Mais agi t'wop ta'wd... D'inomb'wables habitants au'waient été exécuté et to'wtu'wé su'w l'autel de la faiblesse et de l'incompétence... Les su'wvivants se'wont eux dét'wuit de l'inté'wieu'w...
Pe'wsonne ne doit envisager une solution militai'we à la légè'we. C'est tout ou 'wien. L'elfe est pe'wfowmante dans son domaine mais la Gue'we est un monde 'wude et du'w dont elle igno'we les violents 'wouages... On ne s'imp'wovise pas meneu'w de gue'wier ou simple combattant. Combien d'innocents au'waient été massac'wés pa'w naïveté ? Ce'wtes beaucoup de b'waves gue'wiers ont été tués. Et honneu'w leu'w soit fait ca'w ils ont voués leu'w vie dans la d'woitu'we à ce devoi'w. Mais les populations de la Ho'wde peuvent viv'we à p'wésent libé'wé la menace des 'wep'wésailles.
Seuls ceux ayant vécu des gue'wes ou de vé'witables combats, bien difféw'ents des simples duels ou esca'wmouches, peuvent comp'wend'we et savoi'w... Ca'w leu'w âmes est ma'wqué au fe'w 'wouge... 'wouge comme le sang.