Cette lettre est adressée au Roi Magni Barbe-de-Bronze par un certain Brofín.
Elle fut donnée, en main propre, à un garde chargé de la rapporter à son destinataire final. Le Nain était ouvertement blessé, couvert de sang mais particulièrement calme. Il refusa de se laisser conduire dans un lieu propice aux soins.
La lettre est écrite rapidement, l'écriture n'est que très peu soignée et le papier présente quelques taches de sang qui, visiblement, n'ont pas pu être correctement essuyées.
Elle fut donnée, en main propre, à un garde chargé de la rapporter à son destinataire final. Le Nain était ouvertement blessé, couvert de sang mais particulièrement calme. Il refusa de se laisser conduire dans un lieu propice aux soins.
"Mon Roi, Roi Magni Barbe-de-Bronze
J'invoque l'alliance éternelle qui règne entre notre peuple et celui des Hommes comme catalyseur et raison de ma venue, certes écrite, à votre personne.
J'aimerai vous faire part, urgemment, de la venue de Démons dans Hurlevent. Ils sont visiblement descendu de la tour des mages directement, nous les avons combattus mais avons été contraint à la fuite... Mes blessures en témoignent.
Des humains sont restés sur place, je ne sais comment tout ça s'est terminé.
Contactez vous même le Roi de Hurlevent si vous le souhaitez, je suis bien évidemment à votre disposition aussi.
Je combattrai dès que possible, mais il me parait important de vous prévenir pour empêcher la Légion de progresser sur nos terres et celles de nos amis et alliés.
Brofín, fils de Drâgan."
La lettre est écrite rapidement, l'écriture n'est que très peu soignée et le papier présente quelques taches de sang qui, visiblement, n'ont pas pu être correctement essuyées.
- Spoiler:
Libre au Roi de convoquer Brofín ou d'aller directement demander à Varian ce qu'il se passe.
Je précise qu'au moment où Brofín est parti de Hurlevent, il ne savait pas que les démons allaient finir par être maîtrisés par la garde, quelques minutes plus tard.
De plus... La menace reste, au moins à ses yeux, bien présente. Il préfère s'assurer que Magni est au courant de ce qu'il se passe.