Veela faisait sa tournée mensuelle des puits de lune, plus par reflex que par nécessité, étant donner que depuis son arrivée à Teldrassil, l'activité se résumait essentiellement à du nettoyage et de la régulation de l'écosystème environnant .. Il ne faudrait tout de même pas que les bestioles, si adorable et nécessaire soient-elles, viennent noyer les sites sacrés sous des tonnes de fientes.
Pendant des semaines, ou des mois, peut être, elle avait soigneusement évité les villes et village de l'arbre monde, ne s'approchant que discrètement, de nuit, pour se réapprovisionner en nourriture séchée et en munitions, n'entrant, pour ça, qu'en contact qu'avec les druides locaux ou quelques sentinelles en poste avancés et ce uniquement de nuit, quand ces derniers ne lui laisser pas tout simplement ses vivres dans des caches prévues d'avance.
Autant dire que les nouvelles ne lui arrivées que rarement.
Veela était comme ça, une guetteuse, une sentinelle de la vieille école, capable de vivre des années dans les forêts avec quasi aucune ressource autre qu'elle même, en parfaite autarcie et sans aide extérieur, seule avec les animaux, les arbres et les dryades. Malgré tout, elle continuait sans relâche a accomplir sa tâche : Veiller sur le sommeil des druides dans les refuges des saisons, entretenir les puits de lunes et s'assurer de la bonne santé de la nature, et accessoirement de celles des anciens treants, seul véritable contact avec la civilisation.
C'est donc un soir sans prétention, à Teldrassil, qu'elle découvrit une chose déroutante. Un cadavre de sabre-nuit barbotant dans un puits de lune, dans le village abandonner de brise-stellaire. Étrange endroit pour mourir ... Ou pas, compte tenu de l'agitation des furbolgs hystériques qui revendiquent ce village.
Mais si les animaux rôdent autour des puits, il ne s'y abreuvent pas, et reste à une distance raisonnable, se contentant de profiter de l'influence bénéfique qu'ils ont sur l’environnement alentour.
Un fois le corps extrait et écarté, elle pu constater qu'il s'agissait d'un "meurtre", la bête ayant était poignardée.
Veela pris un échantillon d'eau souillée, pour que les prêtresses du temple puissent vérifier qu'il n'y ai pas eu de rituel impie derrière ces événements, puis s'empressa d'aller chercher de l'eau pure au puits de l'oracle, à l'autre bout de la région, pour commencer le nettoyage de la souillure.
L'eau sacrée agit comme un pansement sur une plaie, stabilisant l'état et permettant au puits de se régénérer avec le temps ... Veela balaya les alentours du regard. Le temps c'est exactement ce qu'elle n'avait pas. Les animaux et les furbolgs ressentaient déjà largement la souillure, devenant plus agressifs, tel des bêtes blessées ou malades, et la nature commençait à dépérir ...
La guetteuse du mettre de coté son orgueil, et se dirigea vers Dolanaar, espérant y trouver une prêtresse suffisamment compétente ... Elle en vit une. Abilys, une novice priant près du puits. Parfait !
Elle attira son attention grâce à quelques jet de glands insistants et lui expliqua la situation. Une fois rendu sur place, les deux elfettes eurent tôt fait de pratiquer les rites ancestraux pour restaurer le puits malade, non sans laisser en suspens quelques questions d'importance :
Qui a bien pu jeter une charogne dans un puits sacré, et dans quel but ?
L'eau salie devrait arriver au Temple d'Elune rapidement, ainsi, on saura si cela fait parti d'un rite impie visant a détruire le puits, ou si il s'agit juste d'une négligence d'un étranger mal apprit ...
Pendant des semaines, ou des mois, peut être, elle avait soigneusement évité les villes et village de l'arbre monde, ne s'approchant que discrètement, de nuit, pour se réapprovisionner en nourriture séchée et en munitions, n'entrant, pour ça, qu'en contact qu'avec les druides locaux ou quelques sentinelles en poste avancés et ce uniquement de nuit, quand ces derniers ne lui laisser pas tout simplement ses vivres dans des caches prévues d'avance.
Autant dire que les nouvelles ne lui arrivées que rarement.
Veela était comme ça, une guetteuse, une sentinelle de la vieille école, capable de vivre des années dans les forêts avec quasi aucune ressource autre qu'elle même, en parfaite autarcie et sans aide extérieur, seule avec les animaux, les arbres et les dryades. Malgré tout, elle continuait sans relâche a accomplir sa tâche : Veiller sur le sommeil des druides dans les refuges des saisons, entretenir les puits de lunes et s'assurer de la bonne santé de la nature, et accessoirement de celles des anciens treants, seul véritable contact avec la civilisation.
C'est donc un soir sans prétention, à Teldrassil, qu'elle découvrit une chose déroutante. Un cadavre de sabre-nuit barbotant dans un puits de lune, dans le village abandonner de brise-stellaire. Étrange endroit pour mourir ... Ou pas, compte tenu de l'agitation des furbolgs hystériques qui revendiquent ce village.
Mais si les animaux rôdent autour des puits, il ne s'y abreuvent pas, et reste à une distance raisonnable, se contentant de profiter de l'influence bénéfique qu'ils ont sur l’environnement alentour.
Un fois le corps extrait et écarté, elle pu constater qu'il s'agissait d'un "meurtre", la bête ayant était poignardée.
Veela pris un échantillon d'eau souillée, pour que les prêtresses du temple puissent vérifier qu'il n'y ai pas eu de rituel impie derrière ces événements, puis s'empressa d'aller chercher de l'eau pure au puits de l'oracle, à l'autre bout de la région, pour commencer le nettoyage de la souillure.
L'eau sacrée agit comme un pansement sur une plaie, stabilisant l'état et permettant au puits de se régénérer avec le temps ... Veela balaya les alentours du regard. Le temps c'est exactement ce qu'elle n'avait pas. Les animaux et les furbolgs ressentaient déjà largement la souillure, devenant plus agressifs, tel des bêtes blessées ou malades, et la nature commençait à dépérir ...
La guetteuse du mettre de coté son orgueil, et se dirigea vers Dolanaar, espérant y trouver une prêtresse suffisamment compétente ... Elle en vit une. Abilys, une novice priant près du puits. Parfait !
Elle attira son attention grâce à quelques jet de glands insistants et lui expliqua la situation. Une fois rendu sur place, les deux elfettes eurent tôt fait de pratiquer les rites ancestraux pour restaurer le puits malade, non sans laisser en suspens quelques questions d'importance :
Qui a bien pu jeter une charogne dans un puits sacré, et dans quel but ?
L'eau salie devrait arriver au Temple d'Elune rapidement, ainsi, on saura si cela fait parti d'un rite impie visant a détruire le puits, ou si il s'agit juste d'une négligence d'un étranger mal apprit ...