par Epine et Shineï décidèrent de pousser leurs sabots vers le nord. Shineï voulait revoir des crocilisques avant de prendre le bateau pour Theramor avec sa mam’. Elles allèrent plutôt loin, jusqu’au Viaduc de Thandol et ce qu’elles y découvrirent ne les réjouirent pas, surtout Epine parce que la petite ne se rendait pas vraiment compte. Quelques nains tenaient une barricade de fortune devant ce qui ressemblait à une cité de pierre taillée dans la montagne. Les nains ennemis étaient des Sombrefer et La cité était en fait Dun Modr.
Le nain Tresse-Longue interpella les draeneï et leur déconseilla vivement d’aller jusqu’au viaduc, leur expliquant qu’il était en ruine et que les Sombrefer empêchaient toutes tentatives d’aller le réparer. Epine, animée par sa grande compassion légendaire, se dit alors qu’il serait bon d’aider ses braves gens et que, du coup, le passage pour Arathi par le viaduc pourrait ainsi à nouveau être ouvert. Elle envoya alors une petite sphère messagère de Lumière à Joveste, resté à Menethil, pour le prier de venir les rejoindre.
Joveste arriva donc à grand train, sur son fier talbuk. Epine l’embrassa, avant de lui expliquer la situation. Tresse-longues lui répéta le scénario et Joveste ne se fit pas prier pour s’associer au groupe afin d’aider à la libération du pont.
Tandis que Motley, Rhag, Ashlan et Roggo restaient devant Dun Modr pour empêcher à coup de fusil que les Sombrefer n’aillent porter secours à leur frère postés au viaduc, Joveste, Tresse-longue et Comar Villard se mirent en marche. Après de vaines tentatives de négociation de la part d’Epine pour que tout cela se passe sans effusions, il fallait se rendre à l’évidence : Il faudrait se battre.
C’est ainsi que nos quatre compagnons de lutte parvinrent sans problème à débarrasser les quelque nains Sombrefer qui veillaient stupidement sur les ruines. Tresse-longues et Comar Villard, très content de cette facile victoire, remercia les draeneïs et Tresse-longue leur demanda de bien vouloir prévenir le capitaine Rudepoing à Menethil pour qu’il fasse envoyer de l’aide et de la bière afin de célébrer cette victoire dignement, "à la naine", et déblayer les quelques menus cailloux qui bouchaient le passage.
Les draeneïs rentrèrent donc au port, passèrent prévenir le capitaine avant d’aller retrouver leur chambre à l’auberge. Shineï dormait debout. Epine alla se loger dans les bras chauds et protecteurs de son mari qui l’attendait dans leur lit et tous s’endormirent du sommeil du juste.
Le nain Tresse-Longue interpella les draeneï et leur déconseilla vivement d’aller jusqu’au viaduc, leur expliquant qu’il était en ruine et que les Sombrefer empêchaient toutes tentatives d’aller le réparer. Epine, animée par sa grande compassion légendaire, se dit alors qu’il serait bon d’aider ses braves gens et que, du coup, le passage pour Arathi par le viaduc pourrait ainsi à nouveau être ouvert. Elle envoya alors une petite sphère messagère de Lumière à Joveste, resté à Menethil, pour le prier de venir les rejoindre.
Joveste arriva donc à grand train, sur son fier talbuk. Epine l’embrassa, avant de lui expliquer la situation. Tresse-longues lui répéta le scénario et Joveste ne se fit pas prier pour s’associer au groupe afin d’aider à la libération du pont.
Tandis que Motley, Rhag, Ashlan et Roggo restaient devant Dun Modr pour empêcher à coup de fusil que les Sombrefer n’aillent porter secours à leur frère postés au viaduc, Joveste, Tresse-longue et Comar Villard se mirent en marche. Après de vaines tentatives de négociation de la part d’Epine pour que tout cela se passe sans effusions, il fallait se rendre à l’évidence : Il faudrait se battre.
C’est ainsi que nos quatre compagnons de lutte parvinrent sans problème à débarrasser les quelque nains Sombrefer qui veillaient stupidement sur les ruines. Tresse-longues et Comar Villard, très content de cette facile victoire, remercia les draeneïs et Tresse-longue leur demanda de bien vouloir prévenir le capitaine Rudepoing à Menethil pour qu’il fasse envoyer de l’aide et de la bière afin de célébrer cette victoire dignement, "à la naine", et déblayer les quelques menus cailloux qui bouchaient le passage.
Les draeneïs rentrèrent donc au port, passèrent prévenir le capitaine avant d’aller retrouver leur chambre à l’auberge. Shineï dormait debout. Epine alla se loger dans les bras chauds et protecteurs de son mari qui l’attendait dans leur lit et tous s’endormirent du sommeil du juste.
