par Elvaramir était heureux. Il avait enfin retrouvé sa famille, même s'il ne se souvenait vraiment pas d'eux, et ce n'était pas faute d'avoir essayé.
Il remerciait le ciel que ses anciens frères du nord lui aient indiqué ce désert, dans le sud. Il se souvenait juste du sable, et d'un insecte, proche, très proche, qui l'attendait.
Le voyage avait été long, mais payant. Le nom de la créature lui revint dès qu'il la revit, aux abords d'une des ruches de la région. Goa, son fidèle ami, était là. Il l'attendait depuis tout ce temps qu'il était partit.
Mais à peine avaient-ils eu le temps de se retrouver que deux individus encapuchonnés se présentèrent à lui.
D'abord agressifs et menaçants, voulant le séparer de son ami, ils se ravisèrent en voyant son faciès et un large sourire les illumina.
Elvaramir faisait apparemment partie de leur famille, et la joie les inondait de le retrouver. Ils furent déploré de la perte de mémoire de l'elfe, mais prirent la patience de lui ré expliquer les bases de la vénération du Père, et de la fraternité du Crépuscule.
Elvaramir écoutait calmement, et il ne lui paru pas impossible qu'il eu appartenu à la famille de ces gens de par le passé. Il fut d'autant plus réjouit de constater que sa nouvelle famille prônait des idéaux justes, et qu'ils ne lui imposaient rien. Ils lui conseillèrent cependant d'être discret sur sa nature, les peuples étant souvent hostiles envers ce qu'ils ne comprenaient pas.
Toutefois, ils lui soutinrent que rien ne l'empêchait d'aider ces gens, de la plus simple des mains tendues aux grands actes de bienfaisance, et de tenter de les convaincre petit à petit.
C'est ce que décida Elvaramir. Il voulait aider tous ces gens, aider ses frères et soeurs, contribuer à l'avènement d'un monde meilleur.
C'est donc avec son compagnon, et après que sa famille eu pris congé, qu'il se dirigea, le coeur rayonnant malgré les âges, vers les terres du Kalimdor central, la coupe remplie des meilleures intentions du monde...
Il remerciait le ciel que ses anciens frères du nord lui aient indiqué ce désert, dans le sud. Il se souvenait juste du sable, et d'un insecte, proche, très proche, qui l'attendait.
Le voyage avait été long, mais payant. Le nom de la créature lui revint dès qu'il la revit, aux abords d'une des ruches de la région. Goa, son fidèle ami, était là. Il l'attendait depuis tout ce temps qu'il était partit.
Mais à peine avaient-ils eu le temps de se retrouver que deux individus encapuchonnés se présentèrent à lui.
D'abord agressifs et menaçants, voulant le séparer de son ami, ils se ravisèrent en voyant son faciès et un large sourire les illumina.
Elvaramir faisait apparemment partie de leur famille, et la joie les inondait de le retrouver. Ils furent déploré de la perte de mémoire de l'elfe, mais prirent la patience de lui ré expliquer les bases de la vénération du Père, et de la fraternité du Crépuscule.
Elvaramir écoutait calmement, et il ne lui paru pas impossible qu'il eu appartenu à la famille de ces gens de par le passé. Il fut d'autant plus réjouit de constater que sa nouvelle famille prônait des idéaux justes, et qu'ils ne lui imposaient rien. Ils lui conseillèrent cependant d'être discret sur sa nature, les peuples étant souvent hostiles envers ce qu'ils ne comprenaient pas.
Toutefois, ils lui soutinrent que rien ne l'empêchait d'aider ces gens, de la plus simple des mains tendues aux grands actes de bienfaisance, et de tenter de les convaincre petit à petit.
C'est ce que décida Elvaramir. Il voulait aider tous ces gens, aider ses frères et soeurs, contribuer à l'avènement d'un monde meilleur.
C'est donc avec son compagnon, et après que sa famille eu pris congé, qu'il se dirigea, le coeur rayonnant malgré les âges, vers les terres du Kalimdor central, la coupe remplie des meilleures intentions du monde...
