Une étrange femme faisait parler d'elle. Le nom de Olia circulait partout. Elle parlait du Roi Varian Wrynn. Elle disait que celui qui régnait actuellement n'était pas le vrai, que le vrai allait revenir. Elle parlait de dragon noir à la cours et de traitres envers le royaume dans les hautes sphères du pouvoir. Elle parlait de retour de la Lumière. Tout le monde en entendait parler. Et cela énervait grandement les nobles. Le palais était sérieusement agacé. Des agents du SI7 cherchaient à en savoir plus mais les langues ne se déliaient pas. Difficile de luter contre un être qui semble n'avoir aucune réalité. Une légende ? Non, impossible. Il n'y a pas de fumée dans feu, et il doit bien y avoir une personne de chair derrière tout cela.
Les gens devenaient de plus en plus nerveux dans la capitale humaine. Et si c'était vrai ? Et si le Roi et les nobles étaient des imposteurs ? Même dans l'armée, on pouvait sentir le doute et une certaine tension. Ici et là, des émeutes éclataient. Elle étaient réprimées sans ménagement, mais on sentaient que les soldats avaient moins de conviction. Et puis, Benedictus en prison, avec son sourire et sa confiance habituelle, cela aussi entrainait le doute. Habituellement, les coupables ne sont pas si serein, si.. lumineux. La tension, elle était plutôt de plus en plus palpable parmi les nobles. Benedictus n'est pas condamné . Il n'a même pas encore été jugé. Sans doute que la justice de la cours était embarrassée. Le condamner était risqué. Mais ne rien faire l'était tout autant. Le peuple regardait et grondait.
Epine, rongeait son frein. Cabestan semblait doucement se tirer de son marasme. Les gobelins reprenaient possession de leurs commerces et le calme revenait. Les draeneïs encore présents à l'entrée de la ville veillaient à ce que rien ne vienne troubler les négociations des petits verts pour se désigner un nouveau chef. Seule ombre au tableau : Baie du Butin. Le Marteau du Crépuscule avait encore la main mise dessus. Il va falloir réagir. Mais le temps n'est pas encore venu. Elle réfléchissait à tout cela et à ce qu'il se passait à Hurlevent. La prêtresse de l’Église de la Lumière, Emiade, avait trouvé refuge chez elle. Elle voulait l'aider, mais comment ? Une chose était sûre : si les rumeurs étaient confirmées sur le gouvernement de Hurlevent, le Prophète prendrait position très clairement. Mais aucune preuve ne se profilait.
Attendre... c'est ce qu'il faut. Attendre, mais aussi agir... mais comment ? Comment ?
Les gens devenaient de plus en plus nerveux dans la capitale humaine. Et si c'était vrai ? Et si le Roi et les nobles étaient des imposteurs ? Même dans l'armée, on pouvait sentir le doute et une certaine tension. Ici et là, des émeutes éclataient. Elle étaient réprimées sans ménagement, mais on sentaient que les soldats avaient moins de conviction. Et puis, Benedictus en prison, avec son sourire et sa confiance habituelle, cela aussi entrainait le doute. Habituellement, les coupables ne sont pas si serein, si.. lumineux. La tension, elle était plutôt de plus en plus palpable parmi les nobles. Benedictus n'est pas condamné . Il n'a même pas encore été jugé. Sans doute que la justice de la cours était embarrassée. Le condamner était risqué. Mais ne rien faire l'était tout autant. Le peuple regardait et grondait.
Epine, rongeait son frein. Cabestan semblait doucement se tirer de son marasme. Les gobelins reprenaient possession de leurs commerces et le calme revenait. Les draeneïs encore présents à l'entrée de la ville veillaient à ce que rien ne vienne troubler les négociations des petits verts pour se désigner un nouveau chef. Seule ombre au tableau : Baie du Butin. Le Marteau du Crépuscule avait encore la main mise dessus. Il va falloir réagir. Mais le temps n'est pas encore venu. Elle réfléchissait à tout cela et à ce qu'il se passait à Hurlevent. La prêtresse de l’Église de la Lumière, Emiade, avait trouvé refuge chez elle. Elle voulait l'aider, mais comment ? Une chose était sûre : si les rumeurs étaient confirmées sur le gouvernement de Hurlevent, le Prophète prendrait position très clairement. Mais aucune preuve ne se profilait.
Attendre... c'est ce qu'il faut. Attendre, mais aussi agir... mais comment ? Comment ?