Halvéa voyageait avec Keïnam depuis bien longtemps, avant même le crash sur Brume-Azur elle le montait, il venait de Draenor, elle l'avait baptisé ainsi à sa naissance, quand son père le lui rapporta pour son 100ieme anniversaire, on peut dire qu'ils avaient grandi ensemble. Unis par un lien très fort, et reconnaissant l'un envers l'autre. Ils furent fidèles pendant des Siècles, Keïnam avait défendu de ses défenses sa maîtresse à maintes reprises, mais malgré l'achat coûteux d'équipements et d'armure, l'elekk se faisait vieux et perdait de l'assurance, tant à l'endurance , qu'à la rapidité. C'est avec un regret et une tristesse sans égale qu'Halvéa se mit à réfléchir à un moyen de trouver une autre monture, et de laisser ses dernières années paisibles à son si fidèle Elekk. Elle pensait à le ramener une dernière fois en Draenor, et à le rendre à ses terres d'origines, pour qu'il y termine ses jours en paix et qu'il parte au même endroit où il est né.
Une larme coulait sur la joue d'Halvéa, malgré le lien fort qui les unissait, elle devait respecter l'âge avancé de sa bête, et lui laisser un dernier répit. Voilà des siècles qu'il la suivait dans toutes ses péripéties, depuis ses premiers cours de maniement de l'épée, à la bataille contre les orcs corrompus, jusqu'à l'Exodar crashé en Brume Azur et à sa découverte d'Azeroth, il ne lui avait jamais fait défaut... Jamais, jusqu'à ce jour, où il refusa d'avancer et les barrissements plaintifs qu'il exhumait laissaient sous entendre sa fatigue. Il était grand temps, se disait-elle, de laisser à sa terre natale, ce qu'elle lui avait offert.
Ce jour là, elle prit un portail vers la cité dévastée de Draenor, Shattrath, et entreprit son dernier voyage sur le dos de son fidèle compagnon. Ensemble, d'un pas lent et décisif, ils se dirigeaient vers les plaines de Nagrand, où l'herbe verte avait vu naître des milliers de frères Elekks, et de Talbuks. Oui, c'était là qu'il passerait ses dernières années, au sein de sa communauté, auprès de ses frères de sang et de race, à Nagrand.
Après l'avoir regardé longuement dans les yeux, Halvéa se mit à retirer avec soin les différentes pièces d'armure de Keïnam, découvrant de nombreuses cicatrices du à l'usure et au frottements de celle-ci, les larmes roulaient sur ses jouent pour glisser sur ses épaulière de plaque, avant de s'évaporer. Keïnam la regardait de ses yeux noirs, avec un air tendre et soulagé, il ne bronchait pas. Une fois remis à la nature, Halvéa recula lentement et pas à pas, gardant son regard rivé sur l'elekk afin qu'il ne la suive pas. Au contraire, Keïnam semblait déjà aimer ses nouveaux compagnons. Avec un sourire triste, Halvéa invoqua son griffon, et s'en alla au loin dans les airs, laissant là son fidèle compagnon de route.
Une larme coulait sur la joue d'Halvéa, malgré le lien fort qui les unissait, elle devait respecter l'âge avancé de sa bête, et lui laisser un dernier répit. Voilà des siècles qu'il la suivait dans toutes ses péripéties, depuis ses premiers cours de maniement de l'épée, à la bataille contre les orcs corrompus, jusqu'à l'Exodar crashé en Brume Azur et à sa découverte d'Azeroth, il ne lui avait jamais fait défaut... Jamais, jusqu'à ce jour, où il refusa d'avancer et les barrissements plaintifs qu'il exhumait laissaient sous entendre sa fatigue. Il était grand temps, se disait-elle, de laisser à sa terre natale, ce qu'elle lui avait offert.
Ce jour là, elle prit un portail vers la cité dévastée de Draenor, Shattrath, et entreprit son dernier voyage sur le dos de son fidèle compagnon. Ensemble, d'un pas lent et décisif, ils se dirigeaient vers les plaines de Nagrand, où l'herbe verte avait vu naître des milliers de frères Elekks, et de Talbuks. Oui, c'était là qu'il passerait ses dernières années, au sein de sa communauté, auprès de ses frères de sang et de race, à Nagrand.
Après l'avoir regardé longuement dans les yeux, Halvéa se mit à retirer avec soin les différentes pièces d'armure de Keïnam, découvrant de nombreuses cicatrices du à l'usure et au frottements de celle-ci, les larmes roulaient sur ses jouent pour glisser sur ses épaulière de plaque, avant de s'évaporer. Keïnam la regardait de ses yeux noirs, avec un air tendre et soulagé, il ne bronchait pas. Une fois remis à la nature, Halvéa recula lentement et pas à pas, gardant son regard rivé sur l'elekk afin qu'il ne la suive pas. Au contraire, Keïnam semblait déjà aimer ses nouveaux compagnons. Avec un sourire triste, Halvéa invoqua son griffon, et s'en alla au loin dans les airs, laissant là son fidèle compagnon de route.