C’est un défis qui pourrait paraître idiot à certains, mais pour Yoka’nin, il s’agissait d’un rite initiatique. Comme on le dit souvent, même chez les trolls, les voyages forment la jeunesse et elle, jeune, elle l’était. Elle est aussi très curieuse des choses, du monde et de toutes les forces étranges qu’il abrite et offre parfois aux plus méritants. Alors elle n’hésita pas quand on lui proposa de se rendre au Trépas-d’Orgrim à pied. Il fallait traverser tout Azeroth, ou presque, sans se faire tuer et en affrontant tous les dangers qu’elle ne manquerait pas de rencontrer en route.
À peine sortie de Strangleronce, elle rencontra sa première épreuve. Il fallait traverser des terres infestées des plus stupides et méchantes des créatures que Yoka’nin n’avait jamais rencontrées : Les humains. Et cela ne manqua. Il eut la chance de croiser la route du plus bête et méchant de tous, le Comte Valek Bérille. Ce n’était pas la première fois qu’elle le rencontrait et elle savait à quoi s’en tenir, elle allait souffrir. Il la terrassa, L’estourbit, fit disparaître Ghru, la panthère de la trolle, et emporta celle-ci dans la tour de Klaven. Il la ficela à une chaise et lui ôta ses protèges-épaules de bois avant de lui tordre les seins affreusement, histoire de mêler l’agréable à l’utile.
« Tu jures ne plus venir sur mes terres, trolle ?
- Yoka’nin mawche sur la tewwe des loas. Stupide-humain ne possède pas la tewwe. »
Et crac, un téton pincé très fort. En soi, ce n’est pas bien grave, mais ça fait quand même affreusement mal. Elle serrait les dents et étouffait ses gémissements. Il n’était pas question de montrer la moindre faiblesse ni soumission au stupide-humain.
« Tu jures ne plus venir sur mes terres ?
- Yoka'nin juwe qu'elle weviendwa pas suw ce qui appawtient au stupide-humain. »
« Et sur le royaume de Hurlevent ? Le bois de la pénombre, la forêt d'Elwynn et les carmines ? »
Comme elle tardait à répondre, il lui tordit le second mamelon encore plus fort que le premier. Un vrai sadique ! Elle serra à nouveau les dents. Elle lui aurait sans doute sauté au visage si elle n’était pas attachée les mains derrière le dossier et ses pieds aux pieds de la chaise.
« À tous les humains du royaume de Hurlevent !
- À tous les stupides-humains. »
- Si tu reviens sur les terres de Hurlevent, je t'attrape et je te donne à des taulards qui t'enculeront jusqu'au sang, pigé ? »
Yoka’nin ne voyait pas trop ce qu’il voulait dire, mais acquiesça pour avoir la paix. Il ne semblait pas décidé à la tuer, mais juste à lui faire mal. Personne n’aime avoir mal, à moins d’avoir la tête à l’envers... comme un stupide-humain.
Il la laissa partir.
Yoka’nin devait poursuivre sa route. Dans son esprit, la terre n’appartient à personne. Elle pouvait lui jurer ce qu’il demandait car cela ne voulait rien dire. Et, bien sûr, elle se mit en marche vers le Bois de le Pénombre, s’assurant tout de même qu’il ne la suivait pas.
Le Bois de la Pénombre fut plutôt facile à traverser. Il fallut juste éviter les Worgens et les autres stupides-humains qui l’infestaient. Elle en profita pour apprivoiser un loup blanc pour lui tenir compagnie à la place de sa panthère noire disparue. Les Carmines ne furent pas plus difficiles à franchir jusqu’à la frontière avec les Steppes Ardentes qui, elle, était gardée par des stupides-orcs. Yoka mit un bon moment avant de découvrir un point faible, un passage gardé par juste trois orcs isolés des autres. Elle envoya son loup les occuper pendant qu’elle les mitraillait avec ses flèches. Deux contre trois, c’était facile. Les trois orcs gisaient dans une marre de leur sang pendant que Yoka et son loup marchaient déjà dans les Steppes, continuant leur route. Prudemment, parce que les Steppes, ça ne rigolent pas.
À peine sortie de Strangleronce, elle rencontra sa première épreuve. Il fallait traverser des terres infestées des plus stupides et méchantes des créatures que Yoka’nin n’avait jamais rencontrées : Les humains. Et cela ne manqua. Il eut la chance de croiser la route du plus bête et méchant de tous, le Comte Valek Bérille. Ce n’était pas la première fois qu’elle le rencontrait et elle savait à quoi s’en tenir, elle allait souffrir. Il la terrassa, L’estourbit, fit disparaître Ghru, la panthère de la trolle, et emporta celle-ci dans la tour de Klaven. Il la ficela à une chaise et lui ôta ses protèges-épaules de bois avant de lui tordre les seins affreusement, histoire de mêler l’agréable à l’utile.
« Tu jures ne plus venir sur mes terres, trolle ?
- Yoka’nin mawche sur la tewwe des loas. Stupide-humain ne possède pas la tewwe. »
Et crac, un téton pincé très fort. En soi, ce n’est pas bien grave, mais ça fait quand même affreusement mal. Elle serrait les dents et étouffait ses gémissements. Il n’était pas question de montrer la moindre faiblesse ni soumission au stupide-humain.
« Tu jures ne plus venir sur mes terres ?
- Yoka'nin juwe qu'elle weviendwa pas suw ce qui appawtient au stupide-humain. »
« Et sur le royaume de Hurlevent ? Le bois de la pénombre, la forêt d'Elwynn et les carmines ? »
Comme elle tardait à répondre, il lui tordit le second mamelon encore plus fort que le premier. Un vrai sadique ! Elle serra à nouveau les dents. Elle lui aurait sans doute sauté au visage si elle n’était pas attachée les mains derrière le dossier et ses pieds aux pieds de la chaise.
« À tous les humains du royaume de Hurlevent !
- À tous les stupides-humains. »
- Si tu reviens sur les terres de Hurlevent, je t'attrape et je te donne à des taulards qui t'enculeront jusqu'au sang, pigé ? »
Yoka’nin ne voyait pas trop ce qu’il voulait dire, mais acquiesça pour avoir la paix. Il ne semblait pas décidé à la tuer, mais juste à lui faire mal. Personne n’aime avoir mal, à moins d’avoir la tête à l’envers... comme un stupide-humain.
Il la laissa partir.
Yoka’nin devait poursuivre sa route. Dans son esprit, la terre n’appartient à personne. Elle pouvait lui jurer ce qu’il demandait car cela ne voulait rien dire. Et, bien sûr, elle se mit en marche vers le Bois de le Pénombre, s’assurant tout de même qu’il ne la suivait pas.
Le Bois de la Pénombre fut plutôt facile à traverser. Il fallut juste éviter les Worgens et les autres stupides-humains qui l’infestaient. Elle en profita pour apprivoiser un loup blanc pour lui tenir compagnie à la place de sa panthère noire disparue. Les Carmines ne furent pas plus difficiles à franchir jusqu’à la frontière avec les Steppes Ardentes qui, elle, était gardée par des stupides-orcs. Yoka mit un bon moment avant de découvrir un point faible, un passage gardé par juste trois orcs isolés des autres. Elle envoya son loup les occuper pendant qu’elle les mitraillait avec ses flèches. Deux contre trois, c’était facile. Les trois orcs gisaient dans une marre de leur sang pendant que Yoka et son loup marchaient déjà dans les Steppes, continuant leur route. Prudemment, parce que les Steppes, ça ne rigolent pas.